Au départ, le
personnage d’Eloïse Brabant est né de l’idée d’articuler une bande dessinée
autour du processus narratif du « Journal d’une femme de chambre »
d’Octave Mirbeau. Eloïse raconte donc à la première personne du présent
sa quête de la vérité sur Luis Krell dans « L’Accessoiriste », après
celle sur le Comte Vincenzo dans « Puzzle Gothique » et celle sur
Kate Colds dans « Le Cercle des Spectres ». Ici, le chignon d’Eloïse
tourbillonne comme celui de Kim Novak dans le « Vertigo »
d’Hitchcock. Et la scène finale de l'album est un clin d'oeil à ce chef d'oeuvre.