Livre d'Or - Presse



Dans une veine onirique aux cases dilatées par le soleil de Toscane, l’auteur belge déshabille les mystères de San Diavolo. La ravissante Eloïse dépoussière les crucifix et brise les interdits pour percer les secrets de la vie de Sainte Délia. Un récit mélancolique aux vapeurs d’éternité.

Daniel Couvreur, Le Soir



L’œuvre de François Deflandre est celle d’un créateur perfectionniste, doué pour nous plonger avec maestria dans de troublants cauchemars, comme s’y entendait le génial Hitchcock.

Françis Matthys, La Libre Belgique



Après le franc succès de son « Puzzle gothique », l’auteur bruxellois qui vient des arts plastiques et du graphisme confirme bel et bien une promesse d’avenir radieux dans le monde de la BD. Sa ligne claire semble tout droit sortir d’une autre dimension, tout comme le scénario haletant du « Cercle des Spectres » qu’Alfred Hitchcock aurait pu écrire.

Lucie Hage, METRO



François Deflandre aborde la BD comme le ferait un cinéaste. Ses récits se pensent avant tout comme une mise en scène où l’éclairage, la composition des plans sont primordiaux. Même les ombres paraissent avoir un rôle à y jouer, car elles aussi semblent être animées d’une vie qui leur est propre.

Kamil Plejwaltzsky, Magazine « ZOO »



De belles femmes, des décors mêlant modernisme et néogothisme, une dominante pourpre, une atmosphère à la fois inquiétante et sulfureuse, « Le Cercle des Spectres » aurait pu être réalisé par le cinéaste Dario Argento.

Sofie von Kelen, L’Avis des Bulles



L’auteur belge réussit à mettre en place des ambiances fantastiques très prégnantes. Eloïse se retrouve plongée dans un univers oppressant … et nous aussi !

Olivier Maltret, DBD



François Deflandre aime à se jouer des conventions narratives : faire mine d’en épouser les contours pour mieux les subvertir subrepticement … Le dessinateur manipule un système graphique (lignes sinueuses, séries de rayures, longues perspectives) qui fonctionne comme une grille emprisonnant les personnages. Et finalement les lecteurs. Imparable.

JLR, Les Affiches



Avec maestria, François Deflandre entraîne le lecteur dans une histoire où s’entrebâillent les portes de l’Etrange, ce crépusculaire domaine si cher à nos princes du Fantastique tel Thomas Owen. On saluera particulièrement l’art du coloriste, François Deflandre s’avérant maître dans l’utilisation des crayons de couleur. A l’heure où l’on ploie sous des monceaux d’albums formatés, son œuvre est œuvre d’art à part entière : aventurez-vous-y.

Françis Matthys, La Libre Belgique



François Deflandre livre une histoire brillante où l’univers de Luis Bunuel rencontre celui de Dario Argento. Tout est puzzle chez Deflandre et en premier lieu l’histoire. Il s’impose comme un auteur à part entière et promet d’excellents récits à venir.

Kamil Plejwaltzsky, Magazine « ZOO »



Il y a du E.P.Jacobs chez ce dessinateur-là. Du Hergé, aussi. Curieux, enquiquineur et méticuleux jusqu’à l’insupportable : il crayonne ses aventures après avoir - lui-même – retourné les bibliothèques et arpenté les lieux où traîneront ses héros. Il ne jette l’encre ou ses pinceaux que dans les mystères tortueux, les énigmes ou les controverses historiques. En une lettre comme en cent, des aventures avec un grand A.

Pierre Bouillon, Le Soir